mercredi 19 décembre 2012

Les lucioles

J'ai toujours était une enfant original. Mam' me susurrait au creux de l'oreille que je ferrais de grande choses plus tard. Trace ta voix mon petit trésors me disait-elle. Mon esprit a toujours divagué. Dans un autre monde, peu être meilleure. Les choses dures que j'ai traversé fond de moi ce que je suis aujourd'hui. Une vagabonde. Un esprit libre, que je dois à mes parents. Bientôt je serrais lancée dans un monde nouveau, l'avenir me semble incertain et plein de surprises. Je crois en mes rêves et en la personne que je veux devenir. Peu importe en fin de compte le métier que j'exercerais, styliste, avocate... je veux aimer ce que je fais. Me lever chaque matin la joie au cœur.
Ma plus grande peur est la monotonie, l'inconsciente répétition des chaque journées, la routine.
Je serrais une artiste pas vraiment connu qui aurait jadis rêvé de devenir un magnifique poète, mais une succession inopinés d’événements auront détruit mes rêves et les auront divisé - comme un million d'étoiles dans le ciel d'une nuit d'été- scintillant et brisé. Mais je ne m'en soucierais pas, sachant pertinemment ce que ça coûte d'avoir tout ce que tu as toujours voulu et puis tout perdre pour comprendre enfin ce que signifie le mot liberté. Et tout ces anciens amis que je rencontrerait sur ma route solitaire me demanderons : pourquoi ? Mais peine perdu de leurs expliquer, ils ne pourront comprendre, eux qui auront un chez soi, une maison.., ils ne sauront pas, eux, ce que c'est de chercher de la sécurité à travers une autre personne, d'avoir pour maison n'importe qu'elle endroit où tu peux poser ta tête. En fin de compte je deviendrais exactement ce que j'ai toujours su que je serrais, pas de « boussole moral » pointée en direction du nord, pas de personnalités fixe. Juste une profonde indécision aussi vaste et ondulée que l'océan. Et si je disais que rien de tout ça n'était prévu, je mentirais parce que je suis née pour être cette autre fille, celle qui n'appartiens a personne, ce qui fait d'elle la possession de tout le monde, qui n'a rien- et pourtant qui à envie de tout avec un désir ardent de tout expérimenter et une obsessions de la liberté ,qui me terrifie moi même au point de ne pas pouvoir en parler, qui me pousse à la folie, une folie nomade qui m'éblouis et m’étourdit. Je pris toutes les nuits afin de trouver mes fripouilles- les personnes avec qui je pourrais, dans un meilleure futur, partager le même monde- et je les trouverais, sur une auto route dans un coin perdu du monde.Nous n'aurions rien à perdre, rien à gagner, et plus rien à désirer, à l’exception de faire de notre vie une œuvre d'art.
Je crois en la bonté des étrangers.
Et quand je serrais en guerre avec moi même, je roulerais, roulerais, juste rouler vers un nouveau paradis, abandonnant chaque fois l'homme dont j'aurais était amoureuse et courant désespérément après ma liberté.
Je mourrais, après avoir vu grandir mes enfants ou ceux de ma sœur, bien heureuse.
Comment ? Crise cardiaque devant La Gloire Du Matin, le plus rare et magnifique des nuages.
Ainsi donc aujourd'hui je vous demande ceci. Vous qui tuez les artistes et faites de nous des gens sans histoires. Qui êtes vous ? Vous tenez-vous à l'écoute de vos désirs les plus noirs et de vos rêves les plus extravagants ? Avez-vous créer une vie où ils pourront s'exprimer ? Moi, je l'ai fait. Je suis une sacrée tarée, mais je suis libre
Pour des siècles et des siècles, amen.

lundi 17 décembre 2012

Apocalyptique

On ne joue pas avec les mauvaises fille comme moi
On aime, on perde, rien de plus

Il était une fois

Voilà ce que la nuit fit d'elle
Plus rien à offrir à personne mise a part sa propre confusion
Jeunes nous pleurons, vieux nous mourons
Ronde de nuit, idole des sixties,virevoltant dans la lumière des réverbères
Whisky à la main, bijoux au poignet
Volonté ultime de faire de sa vie une putain d’œuvre d'art
Car c'est la seule trace de notre passage apocalyptique
La Lune a une Histoire

dimanche 16 décembre 2012

vendredi 23 novembre 2012

Coeur de lion

Je survole les problèmes des grands avec une insouciance des plus commode. Je me laisse aller à tout vagabondage. Ma tête est en vrac et mon être tout tourneboulé. Je me questionne et m’entretiens de politique, de philosophie et d'art. J'observe et analyse tout ce drôle de monde qui m'entoure. Je tourne en rond. Me roule par terre. Trouve une issue. Et c'est repartie. Les gens viennent et s'en vont en laissant derrière eux un vrai chantier dans mon petit cœur tout fissuré. Et pourtant il bat encore. Mes membres frissonnent toujours et mon corps pleurera encore beaucoup. Mais je me fiche de tout ça. Je rigole. Je rêve et m’évade. Je me laisse surprendre par la moindre sensation. Je regarde l'avenir, j'aimerais m'enfuir pour un meilleur futur. La monotonie m'agace et la routine me consume. J'ai besoin d’être surprise, d'entrevoir un monde plus créatif. Je cri contre ce système qui tu les vrais artistes et fait de nous des gens sans histoires.

mercredi 21 novembre 2012

Grandeur et Décadence

Je ne crois pas en grand chose. Je conteste et m’oppose sans cesse. J'suis plus sûr de rien dans ce monde incertain. J'pense que si je suis autant contestataire c'est la faute à ce système de merdeux. Nos grands-parents ont tout foutue en l'air. Des chocs pétroliers, des guerres, des coups d 'états, des mouvements prônant l'amour et la paix, ils ont vécu, fait pleins d'enfants et fumés des joints a Woodstock. Et ils ont laissé tout le merdier à nos parents, une génération vacante qui n'a fait qu'attendre et essayer de remettre de l'ordre dans cet héritage bancal. Ils ont manifestés, fait moins de gosse, sont devenus écolo et chômeurs. Puis nous nous pointons sans trop savoir quoi faire et où se foutre, on aimerait trouver un juste milieux. On aurait de quoi changer les choses mais on s'en coutre fou éperdument. Désillusionnés avant l'âge, emprisonnés dans un engrenage infernal. Puis à quoi bon se crever à la tache si c'est pour voire le monde se désintégrer cette année ? Mais moi je désespère pas, un temps viendra ou la mentalité évoluera. Ainsi donc il ne nous reste plus qu'a attendre. Attendre une solution que ne viendra jamais.

jeudi 15 novembre 2012

samedi 10 novembre 2012

La maison du bout du monde

J'ai beaucoup souffert et beaucoup pleurer au par avant, puis j'ai vainement essayé d'anesthésier la douleur avec mille et une techniques, je n'ai jamais choisi le raisonnable pensant que pour faire disparaître une douleur profondément grande il fallait trouver plus haut encore et aller toujours plus loin. Je ne suis pas fière mais je ne regrette rien, dans la douleur j'ai trouvé l'euphorie, dans la noirceur des nuits j'ai trouvé une deuxième maison, dans des amours éphémères sans sentiments derrière j'ai trouvé la puissance de ne souffrir que quand je le décidais. Puis mes larmes se sont transformées en mot et mes cris en phrase. J'ai trouvé l'art et une passion à travers ma douleur. J'ai creusé plus profond en moi pour découvrir des aspects bien moins noirs que je le pensais. Je n’écris plus que sur ma douleur, non je parle de ce que j'en tire, comme pour donner un souffle d’espoir à toutes ses âmes meurtries que n'ont de cesse de se chercher. J'écris non pour me faire connaître mais pour me connaître.

Des gens comme les autres

J'ai appris beaucoup de chose. J'ai appréhendé un nombre incalculable de troubles du comportement. J'ai analysé les moindres expressions et sentiments de tout ces gens qui m'entourent. Je les ai observé pour essayer de mieux me connaître. Au début j'avoue que j’étais stupéfaite de ce que je découvrait sur la nature humain, toute cette noirceur que renferme un être. Mais on s'y fait vite, on apprend rapidement à contrôler le dégoût et le parfum amer de la déception face à des gens qu'on pensait connaître. Je sais maintenant qu'on ne change personne et que rien ne redevient jamais comme avant.

jeudi 8 novembre 2012

les confessions d'un fanfarron

Pourquoi j'avais fait ça ? J'avais des tas d'explications, toutes fausses. La vérité c'est que je suis une salle gosse, et ça va changer, je vais changer, tout ça est bien fini, désormais je suis clean, j'avance dans le droit chemin, je choisis la vie. J'en jubile à l'avance. Je vais devenir comme vous... Le boulot, la famille, la super téloche, vider le lave vaisselle, les bonnes notes, la chaîne hifi qu'on utilise jamais et les bougies qui restent éteintes, la santé, un porte monnaie toujours plein, la chambre rangée, le survet, les valises, mes robes pour noël, les jeux-télés, le MacDo, les couples pour l'éternité, les balades en foret, le jogging du samedi matin, laver la voiture, passer l'aspi', les Noëls en famille, les films du vendredi soir, la badgéo, la carte ciné avec ses réductions, déboucher l’évier, s'en sortir , vois venir le jour de sa mort, essayer d'atteindre les soixante ans. Une jolie vie bien rangée. C'est pas moi mais tant pis, je ferrais tout ça pour vous plaire, pour vous prouver que j'irais loin. C'est du n'importe quoi. Je suis pas un, je suis plusieurs. Je suis un vrai bordel. Personne ne m’enlèvera ma liberté, ouais je continuerais à rêver tant que mon âge me le permettra. J'ai fais la part des choses à présent, j'en ai marre de décevoir tout le monde sans cesse, j'ai déjà perdu assez de temps avec ces conneries.S'en est fini des mensonges et la glande avec de vieux branleurs toute la journée. J'vais m'échapper et virevolter dans la lumière des réverbères. Monte le son que je fasse le tour du monde.

mardi 6 novembre 2012

Faux semblants

Mes parents n'écoutaient plus, croyant que j’étais une enfant définitivement perdue

samedi 3 novembre 2012

Le cri d'espoir

Mes parents ont toujours cru en moi, plus que moi sûrement, mes amis, mes profs aussi, puis je suis arrivée à un point de ma vie où cela ne me suffisait plus, alors je me suis testée, pour voire jusqu’où je serrais prête à aller. Alors ouais je me suis cherchée toute une année, je me suis trouvée mille et une fois pour toujours revenir au même point : qui suis je ? Je ne sais toujours pas, mais je m'en contre fou, j'ai beaucoup appris  de mes erreurs, les épreuves m'ont construite et le feront encore, on ne se déclare pas punk, hippie ou artiste on le devient à travers notre vécu et ce qu'on en tire, personne n'est bon ou méchant c'est ce que nous décidons de montrer dans nos actes qui le prouve, on ne naît pas avec un don pour la musique ou le tennis, on s’entraîne et on devient meilleur, tout au long de notre existence nous nous construisons pour devenir ce que nous sommes, la mémoire nous forge aussi car pas de souvenirs, pas d'avenir. Tout ça pour vous dire, que en un an j'ai eu le temps de me chercher et de me perdre plus d'un million de fois sans jamais me trouver. Par contre après cette année j'ai découvert un aspect de ma personnalité que je ne connaissais pas, je n'oublie pas ce en quoi j'ai pu me transformer et ça m'aide à devenir celle que je suis. Écoutez moi attentivement à présent. La vie est faite de choix. Et même les meilleures se trompent, alors trompez vous, ce n'est pas grave, mais tirez en le meilleure, n'ayez pas peur de vivre, c'est votre tour mince, libérez vous, je veux vous voir crier, je veux vous voire pleurer et rire en même temps, nom de dieu remuez vous, c'est maintenant que ça se joue, ce qui est passé est révolue à jamais, chaque jour on vous offre une magnifique opportunité: vivre. Alors oui je sais ça peut paraître effrayant, tout ces gens qui vous regardent, toutes ces choses à faire pour ne décevoir personne et être sur de « réussir » ,oui je sais, mais lancez vous, dites lui que vous l'aimez, parlez à vos parents, réglez tout vos problèmes, ne vous laissez jamais rabaisser, jamais. Alors je sais que c'est cliché et pas facile mais chaque jour levez vous avec l'idée en tête de faire tout ce que vous voulez aujourd'hui, demain vous ne pourrez plus, n'ayez aucun regret, les regrets nous tuent et même si ce monde s'écroule, ne cessez jamais d'avoir foi en vous et ce que vous devenez. VIVEZ HEUREUX .

mercredi 31 octobre 2012

Se languir



A chaque retour en arrière je crains la rechute. J'ai peur de mon passé, peur de comment mes démons m'ont toujours rattrapés. Plus jamais comme avant, je me le suis jurée. Je ne veux plus me retourner, les yeux pleins de regrets. Je suis là pour vivre et avancer.

mercredi 24 octobre 2012

Carabistouille

Et si ce soir je m'en vais, me courras tu après ?
Et si demains je ne t'aime plus, m'attendras tu ?

lundi 22 octobre 2012

Un jour sans retour

Je crois que nous naissons tous avec un semblant de folie. Je suis née avec cette magie dans un lieux magique rempli des gens magiques. Nous naissons avec un feu, une tornade en nous. Nous faisons des châteaux de sable et des rêves. Puis les fessés, le bains, les coups de brosse nous remettent dans le droit chemin. Les erreurs, les déceptions, les échecs nous font rebondir et nous désillusionne, on pourrait croire toute notre vie au père noël et aux princesses si seulement ça n'avait pas été un pur mensonge depuis nos 3ans. Et si on nous avait raconté des histoires réelles mais fantastiques ? Il y aurait sûrement eût moins de déception dans ce monde. Si on dit que la vérité sort de la bouche des enfants c'est parce qu'en grandissant on apprend ce qu'est le mensonge justement à cause de ces bobards qu'on nous raconte depuis que nous sommes gosses. Puis avec l'âge on nous demande d’être responsable et mature, et pourquoi ? Parce que ceux qui nous le disent on peur de la folie de la jeunesse, cette folie qui avant les habitait comme un feu hardant. Un adulte ça n'a rien avoir avec l'âge m ais avec ce qui se passe dans la tête, bien sur ça rend mieux si à 30 ans on pense comme un grand mais saperlipopette laissez nous choisir ce qu'on veut être, laissez nous être de joyeux fanfarons toute notre vie si ça nous chante, laissez nous rêver pour toujours. Ce qu'il y a c'est qu'une fois qu'on s'éloigne de cette magie d'enfant on peut pas vraiment y revenir et tout va trop vite après ça. On se trouve un job, un bon mari, on achète une jolie maison bien équipée avec prêt sur dix ans, on se trouve des voisins sympas qui eux aussi se laissent consumer par la monotonie des journées des adultes puis on fait des gosses et là si seulement on se laissait une nouvelle chance, si seulement on apprenais un peu de notre vécu, on ne leurs raconterais pas des histoires entièrement fausses, on les laisserait faire leurs erreurs sans qu'ils aillent trop loin non plus. Pourquoi donc quand on vieillit on oublie comme on à été jeune ? A moins que ce soit de la peur ? La peur de se laisser surprendre par une vie qui nous a tant déçu auparavant . Mais voyez j'dit ça j'ai à peine 15ans, 15 ans c'est si peu dans une vie, j'avoue que quand je vois tout ce qui m'attend j'ai aussi un peu peur mais ça m'excite, ouais j'ai encore la fureur de vivre et je ne veux jamais m'en défaire. Je créerais jusqu'à ce que mon esprit cesse de fonctionner, je dessinerais jusqu'à ce que j'me choppe Parkinson, je rirais jusqu'à être muette et je révérais jusqu'à ma putain de mort. Je m’ennuierais jamais sauf quand je l'aurais décidé. Et quand j'aurais perdu cette magie bah j'y retournerais de temps à autre, dans une salle de cinéma, vous savez ce moment où les lumières se tassent et que la musique commence sur un générique envoûtant, ouais ce moment bah il y a toujours une lueur d’excitation parce qu’on sait que pendant deux heures, on va encore nous baratiner et nous faire rêver, ou quand je vois un avion décollé et que je me demande vers où il se dirige, ouais c'est dans des moments comme cela que j'entre dans un monde magique et c'est ce en quoi je crois. J'ai beau être foutrement folle, je suis libre.

dimanche 14 octobre 2012

Le soir des fourmilles

Je trouve plus de mots pour exprimer ce qui se passe en moi. J'pensais que le bonheur n'était qu'un mythe. Je me suis trompée. Parce que je peux vous assurer qu'à ce moment précis je suis la salope la plus chanceuse du monde. Oui , je veux dire j'ai tout ce qui faut autour de moi, j'ai de l'air dans mes poumons et des culottes propres. C'est peu être pas du bonheur ;  juste une illusion désillusionnée. Je sais pas trop, je veux pas savoir en fait parce que je suis simplement bien avec moi même, c'est sûrement grâce à tout ces mensonges et ces déceptions, j'attends plus rien ni de moi ni de personne. Je me contente de vivre, courir sous la pluie et sourire à chaque passant. J'veux donner du bonheur. Je ne suis pas rancunière ni contre les gens ni contre toutes les saloperies que la vie m'a donner. J'm'en fou, j'ai autre chose à faire que me lamenter sur mon sort, j'irais perdre mon temps ailleurs. Je veux plus être une déchirée écorchée,ni jouer à la fille dérangée. J'en ai fini avec ses conneries, je ne décevrais plus ceux qui m'aiment. Une fois lancée, j'suis comme le vent et personne ne peut rattraper le vent. Il n'y aura plus de mauvais soir passés dans le noir à consommer des choses qui m’assomme. Laissez moi croire pour toujours que cette vie est un magnifique n'importe quoi.

jeudi 11 octobre 2012

mercredi 3 octobre 2012

Les baroudeuses de l'Est

C'est une original. Loin d’être sentimentale, elle avance la tête haute et elle fou tout en l'air derrière elle, comme un ouragan, elle n’effleure personne sans laisser de trace. Plus rapide que le vent personne ne la rattrapera jamais, elle est libre. Le matin elle se lève tôt pour observer le ciel en feu, elle lit et tant pis si les autres n'aiment pas. Elle fume ; en attendant son bus et en vélo. Elle ne se justifie jamais, elle ne demande rien, elle vit sa vie comme elle l'entend. Elle a toujours ce petit aire un peu mélancolique dans son visage, mais quand elle sourie tout autour d'elle s'illumine. Elle ne se lamente pas sur son sort et pourtant y a de quoi. Elle est un peu ailleurs, c'est comme ça qu'elle arrive à survivre dans ce monde trop pressé. Elle est simple mais tellement pas banal, elle a ce truc. Elle laisse la vie la surprendre. Chaque jour elle voyage, elle oublie son age et s'abandonne à tout libertinage. 

M. - A.

La ville prend feu

Tout est plus claire a présent, j'me sens mieux. J'suis de nouveau d'la partie j'vais vous en foutre plein les yeux mes chéries. Ouais j'ai longtemps hésité, j'me suis un peu égarée et beaucoup questionnée. J'ai perdu mon temps, rencontré de mauvaises personnes. Mais c'est fini, j'veux plus j'ai plus la force de toute manière, j'vois les choses différemment. T'façons j’attends plus rien de personne, trop de gens m'ont déçu. Je me suis déçu aussi, j'me reconnaissais plus. Le matin dans le miroir c'était plus moi que je voyais, nan c'était juste cette fille imbibée d'alcool avec ses habits stylés, son allure délirante mais délurée, les yeux toujours bien maquillés, ouais tout en apparence plus rien à l’intérieure. Y avait plus de flamme dans mes yeux, plus de spontanéité dans mon sourire. Pendant tout ce temps j'ai été totalement absente dans ma propre existence, croyant vivre à fond, j'étais juste à 2000 années lumières voyageant dans un autre monde. Meilleure ce monde ? Quand t'es saoul et que tu planes pourquoi pas, mais quand tu te prends une bonne claque dans la tronche tu comprends vite que tout ça ne te mène nul part, nul part sauf à ta perte.

samedi 29 septembre 2012

Les lamentations des corbeaux

Tout ces moments se perdront dans l'oublie, comme des larmes dans la pluie.
Et ouais je sais que ça finira comme ça mais je m'en fou, c'est pas parce qu’un jour j'oublierai tout ces putains de moments que je vais me priver de les vivre. Parce que le plus beau c'est pas de s'en souvenir toute sa vie, nan le plus magique dans tout ça c'est l'impacte qu'ils ont eu sur nous à un moment précis de notre existence, et ça, on oublie jamais.

mercredi 26 septembre 2012

Les enfants perdus

J'ai pas toujours été bien dans ma tête j'lavoue. J'danse sur les tables et je titube. J'suis pas de celles qui meure d'amour bien qu'il m'arrive de méprendre tout les dix ans pour un imbécile. J'suis l'genre déglinguée, j'suis pas réglée d'la même manière que la plupart des personnes sur terre.
Je ne  demande rien, mon unique bien est de vivre libre.

Les textes retrouvés

C'est quand les gens qu'on aime partent qu'on se rend vraiment compte de leurs importances. Une fois la tempête passée, une fois les larmes séchées et les cris étouffés , le calme reprend peu à peu sa place, seulement c'est pire encore , c'est là que commence l'ennuie , les journées deviennent vides, ennuyantes, tout paraît tellement moins utile et intéressant, oui le quotidien perd peu à peu son sens , c'est là , oui exactement là, que le manque s'installe. Qu'il devient insupportable, seulement la vie est faite ainsi et malgré les épreuves notre corps, notre coeur se doit de supporter la douleur . Bien qu'à certain moment aucun remède ne paraît utile. Quand la souffrance est trop lourde. Quand c'est tout notre être qui est dévasté, oui à certain moment aucune solution ne paraît envisageable, alors dans ces moments, ceux où plus rien n'a d'importance, ceux où tout paraît permit tellement la douleur recouvre tout, dans ces moments on dérape, trop sûrement. Puis le lendemain on se réveille , en pensant que tout serrait oublié, c'est le cas, en partie. On a oublié les mecs embrassés, les SMS envoyés,les appels passés, la ténu portée, quasiment tout,mais la douleur reste. Alors dans un éclair de lucidité on comprend que les yeux rouges et les gueules de bois n'apportent rien, on écoute des chansons section déprime on pleur un bon coup et on est repartie, on décide d'arrêter les conneries, de lire à nouveau, de moins sortir le week-end, on promet un peu trop, et au bout d'une semaine plus aucun contrat ne tient, et tout répare. C'est banal, habituelle. On se rend compte qu'à 14ans on se boit des bières pendant les soirées pyjama, un petit bedo à la sortie des cours, le meilleur ami se transforme en plan cul régulier, tu fais quoi samedi ? Je vais en boîte bien sur .
On ne pense plus au lendemain, après tout c'est la fin du monde. Vie dégonflée, avenir brisé, génération ratée .
Rien de très glorieux au final




lundi 24 septembre 2012

L'arogance des premiers jours

T’inquiète il existe mieux que moi, mais ça reste dur à trouver.

Les gribouillis

On dit que quand un être part c'est l'vide, mais moi j'suis pas d'accord. C'est tout le contraire à mon goût. Et c'est ça le plus triste. Les gens continuent à aller en cours, à se dépêcher de manger leurs sandwichs, ouais le pire c'est que le monde continue de tourner et le soleil de briller.
On pense que tout part en fumé mais c'est pas le cas, y a que nous, nous et notre petit cœur qui somme dévastés. On pense que le monde entier ressentira cette douleur qui nous empêche de respirer mais en fin de compte nous sommes seuls face à notre chagrin. La fin marque la fin , juste ça. J'aurais pensé que l'monde se souviendrait de nous. J'aimerais compter pour quelqu'un, oui j'aimerais que ma mort reste juste une partie de mon existences. C'est pas juste. On vit, on se défonce à la tache, on s'fait chier avec des trucs sans intérêt puis un jour on crève et plus rien ?
Bah moi j'veux pas, je vivrais comme une folle jusqu'à ma mort, je donnerais tout ce que j'ai à donner à ce monde sans foie ni raison. Je veux pas mourir dans mon fauteuil roulant à 90 piges avec en prime le filet de bave et Alzheimer, si il faut j'me suiciderais de l'Empire State, ouais j'veux une mort aussi fulgurante que ma vie.

Le service à thé brisé

Et je crois qu'elle s'en fou de tous ça à présent. C'est plus elle. Elle est encore un peu perdu tu vois, mais cette fois elle est prête à tout abandonner. C'est pas qu'elle est plus triste, moins folle, c'est juste qu'elle voie plus de magie dans ces futilités, elle est un peu mélancolique aussi, parce qu'elle s’apprête à dire au revoir douloureusement à ce passé. Alors avant de s'en aller vers d'autres horizons elle se retourne une dernière fois et elle regarde ce champs de mines qu'elle laissent derrière elle. Tant de souvenirs, mais elle n'oublie rien. Ce qui a, c'est qu'elle avait plus que ça, ouais tout ce bordel rythmait son train train quotidien, elle avait tout abandonné. Elle a mal, mais elle souri comme toujours. Elle est plus sereine, elle trouve un juste milieux à présent. Elle reste sur ces gardes. Un ptit bout de femme qui trace sa voie. Elle ne veut plus rien sacrifier. Elle restera déjanté, rêveuse. Elle a pas froid au yeux. Elle tente le tout pour le tout, sa vie n'est peu être pas totalement fichue, juste une mauvaise phase ou un mauvaise âge. C'qui y a c'est qu'elle a déjà promis tant de choses, et si elle se perdait à nouveau ? Et si elle foirait encore ? Oh et puis faites des erreurs, y a que comme ça que vous trouverez votre voie, les mauvaises décisions font les bonnes histoires.
 Ouais c'est la fin de tout, la fin d'un rêve. Mais après tout la fin signifie toujours un renouveau.

lundi 17 septembre 2012

Les anges s'agitent

Comme un éclaire, une bombe nucléaire , y' a des gens qui marquent, qui laissent un trace.


samedi 15 septembre 2012

Le temps

A quoi bon essayer de survivre dans ce monde sans avenir.
A quoi bon s'mentir j'veux juste rire et m'fabriquer des souvenirs
avant de mourir.

La nuit je mens

Je crois que ce soir là quelque chose s'est brisé en moi. Tout espoir était mort. Dans ma tête rien ne tournait plus rond. Rien que du néant , plus que ça. J'aurais dû pleurer, crier , faire quelque chose bordel, mais rien je suis restée là à observer ma triste déchéance , ouais immobile à revivre tout ces bons moments putain, je répétais le nom de tout ceux qui avaient croisé ma route , qu'elle image leurs avais-je donné ? Là, à faire la liste de tout ces ptits gens qui m'avaient marqué et ceux que j'avais oublié , délaissé. J'étais comme morte, ma vie défilait, j'étais juste là impuissante face à ma propre existence, incapable de prononcer le moindre mot. Incapable de bouger, de penser, de respirer. Ma tête était ailleurs , j'étais ailleurs dans un autre monde, avant. Avant sa mort, avant le collège, les soirées et tout le bordel, avant les mecs, toutes les futilités avant les gens qui jugent, les parents qui se déchirent. Trop de souvenirs , trop de baffes d'un coup. Mon cœur allait lâcher je crois bien. Oui ce soir quelque chose était mort en moi. Mon ancienne moi sûrement quand tout était plus simple. Je me suis perdu , ça m'a détruite . Je suis bouffée de l'intérieure va y avoir du boulot mon gars.

jeudi 13 septembre 2012

A une p'tite dame qui a trop aimé

oh crois moi elle ne t'as jamais oublié
pas un seul instant , pas une seul seconde
elle n'a eu de cesse de t'aimer

C.
( ça devient trop banal de voire une fille bien pleurer pour un conard )

Les bienfaits de la lune

Nous voulons de la boisson, nous voulons des fringues, des trucs fous, cons, qui servent à rien mais qui nous plaisent bien, nous voulons des fêtes qui s'finissent mal, plus de drogues parce que nous ne trouvons rien de mieux pour s’évader, nous voulons des parents qui s'aiment mais à noël nous pourrions avoir plus de cadeaux , plus de trucs inutiles, nous voulons toujours trop et nous ne recevons jamais assez.
Ouais nous cherchons juste des trucs qui pourraient combler notre mal intérieure de ptit branleur. Mais en fin de compte ce qui nous manque c'est la foie, nous avons juste besoin de croire en quelque chose. De croire qu'y a encore de l'espoir.

mercredi 12 septembre 2012

Le dos courbé


Y à certains moments qu'j'aimerais effacer, certains sentiments qu'jaimerais oublier
j'crois que je vais gerber sur la facilité de tout ces 'je t'aime' .

mardi 11 septembre 2012

et tout le mond fut saoul

J'en ai toujours voulu au temps de nous rendre si impuissant
face a tous ces souvenirs, ces moments qui nous glissent des mains lentement
face à tous ce sentiments qui nous dévorent douloureusement



lundi 10 septembre 2012

N'importe où hors du monde


Et dans sa tête  c'est l'bordel, elle sait plus d'où elle vient et ou elle va, elle est perdue, perdue dans ce bordel infernal maximal, dans cette vie essoufflée.
Tout se confond, tout se floute, elle sent sa tête tourner, on est jamais appréciés a sa juste valeur de tout manière, alors elle s'agace, le sol s’évade en dessous d'elle.Y'a plus de logique, plus de bon et de mauvais, plus de haut et de bas, y a plus rien, plus de repere tout est a l'envers. Mais le monde se fou de ça. Mais le monde ri a la gueule de toutes ces existences perdues, sans but, ni raison. Et elle se fou du monde, elle se trompe, trop surrement, fais face et leve son majeur à cette terre qui ne tourne plus rond.

Les foules

Et si un jour on se revoit rappelle moi de te demander comment ça va.

Les photos oubliées

Et on s'accroche et on s'acharne, on s'abime et on se gâche
 on se brise et on s'attarde puis on part.

dimanche 9 septembre 2012

samedi 8 septembre 2012

Brumes et pluies

C'est notre vécu qui fait ce qu'on est aujourd'hui, c'est ce qu'on a subit, c'est ce qu'on a combattue qui donne un sens a notre histoires, c'est nos souvenirs qui nous différencient, qui font que nous ne sommes pas tous les mêmes.
N'oubliez jamais d’où vous venez.
 Pas de passé,pas de personnalité.

Celle qui était trop gaie

Aujourd'hui je ne vais pas me plaindre de tout mes malheurs, non parceque malgres tout je vais bien . Je suis bien, heureuse. Le soleil brille , tout est parfait. Oui je suis paisible aujourd'hui, c'est un jour banal mais c'est un jour plein de promesse. Je me sens pleine de vie, j'ai l'impression que tout est possible, la nuit de velours m'enveloppe. Ça promet, je crois que ce soir nous serrons plus brillant encore que le soleil et plus haut que le ciel.
Il y a des jours comme ça , des soirées comme ça ou tout parâit merveilleux , peu être parce que parfois on en a marre, marre de grogner, d'être malheureux, marre de la pollution, marre des assassins, des viols, marre des guerres marre de toutes les souffrances que la terre nous jette chaque jours oui au fond on veut juste prendre un peu de bon temps , on est en train de vivre bordel. Ça me frappe parfois , et tout parait alors plus lumineux. Dites vous que c'est maintenant que ça se passe non, n'attendez pas, vous serrez mort. Vous voyez ou c'est encore flou ? Vivez bordel, la vie ne nous veut aucun mal, si un malheur vous arrive dites vous que c'est ainsi, c'est comme ça que ça devait se passer, je sais c'est dur mais dites vous ça et tournez la page , ne déchirez pas les chapitres mais écrivaient une nouvelle histoire. Plus belle, plus joyeuse que la précédente. Souvenez vous qu'il n'est jamais trop tard. Vous pigez ce que je vous dit ? Observez tous ce que la vie à nous offrir , n'est ce pas magnifique, oubliez tout le mal , riez ça ne peut faire que du bien , vous êtes la pour encore un certain nombre d'année alors ne détestez pas ce qu'on vous a offert, soyez libre, soyez heureux, exister ne suffit pas il faut vivre, vivre à en mourir .

Les promesses d'un visage

Y a des histoires compliquées, des amants écorchés, des âmes vouées a s'rencontrer, des couples pour l’éternités,
nous on fait pas dans le banal, dans le sentimentale, non c'est bien plus originale
ça c'est terminer avant même d'avoir commencer
c'est pas faute d'avoir essayé, de s’être aimés

Les épaves

Juste une rébellion d'vieux couillons.

L'invitation au voyage

On s'en ira sur la route, on voyagera et emmerdera les touristes.
On rira au éclat, comme si tout était simple. On visitera toutes les villes, tous les pays, tous les océans. Peu importe l'argent on réalisera nos rêves les plus fou. On remontra des siècles et des siècles de civilisation à la recherche de nouvelles cultures venant de tous les horizons. On verra les plus beau paysages. On marchera sur les plus belles plages. On se baignera dans les mers les plus transparentes. On vivra nos plus beau moments, on vivra comme personne avant. On volera plus haut que n'importe laquelle des paroles de tous ces fils de putes rageur et prétentieux qui nous entourent. On serra libre tu vois. Et puis un jour on rentrera à la maison, repu de toutes les beautés qu'on aura vu. Mais tous ces souvenirs seront à graver en nous. Pas juste dans notre tête , nan encrés au plus profond de nos âmes, comme des trésors qu'on dévoile après 1 siècle juste pour faire partager cette sensation tellement mieux que les shoot de vodka et que les splifs

L'amour et le crane

Tous les textes parlent d'amour, tous les poèmes, tous les films. Les pages Facebook sont pleine de ça, de l'amour encore et toujours en quantité infini, et des plaintes et trop de manque et de tristesse. Moi je n'écris pas sur l'amour, non, je n'écris que sur ce que je connais, la mort, la vie, la liberté, la jeunesse, les soirées, les amies, la famille qui se déchire et puis l'alcool, la drogue et tout le bordel. Nop je parle pas d'amour, j'écris pas sur l'amour parce que on m'en sert déjà tous les jours de l'amour, les copines qui se plaignent, non merci je ne veux pas finir comme ça , en fait je sais que je finirais jamais comme ça , trop d'indépendance, trop de liberté pour me focaliser sur l'amour, celui qui fait souffrir. Par contre je peut vous parler flirt, je peux vous parlez amour de vacances, je peux vous parler de ces histoires qui comme des étoiles filantes sont courtes mais bluffantes. Oui je peux vous parlez de ces histoires ou on rit, on s'embrasse, on mange des glaces, on appelle ça les débuts et bien ces débuts consistent mes histoires entières, les prises de tête, les présentations familiale, la jalousie, les pleurs, les doutes c'est pas moi, pas maintenant en tout cas.
Moi je veux du fulgurant, du passionné, du court. Je veux rire, être libre, pas de mec 24h sur 24 bons sang on a le temps, le temps de tomber amoureux et de souffrir, on a le temps de se tromper de chemins 1000 et une fois, on a du temps devant nous. Oubliez les obligations de demain car c'est maintenant que nous vivons nos plus belles années.

La vie antérieure

J'ai plus de souvenirs que si j'avais vécu un siècle

L'aube spirituelle

Pas peur. Nan rien ne m'effraye sauf une chose la routine. Non c'est pas pour moi ce genre de chose. Peur de m'ennuyer des gens que j'aime. Peur de m'ennuyer de la ville, de l'appart ou je vie. Alors je fais tout pour exciter cette vie pitoyable d'ado à peine pubère. Ouais je fais des trucs dingues, des trucs que personne n'a fait avant moi, je me crée des souvenirs pour plus tard. Ça marche , mais la vie est faite ainsi et les conneries deviennent toujours les mêmes alors on trouve d'autre trucs, d'autre lieux, d'autre alcools, d'autre magasins, on essaye d'autre drogues. Tant de gens sont passés avant nous qu'on ne peut que se sentir inexistant dans ce monde de fou. Et oui on se sent important et tout puissant parce que on a trop de potes, trop de soirées, trop de mecs, trop de bonheur mais on est rien, on est minuscule. Mais moi je veux plus, je veux que les gens se souviennent de moi quand je serrais morte, ouais je veux que les gens lisent mes textes, qu'ils connaissent mon histoire, qu'ils m'admirent, qu'ils m'détestent mais j veux qu'ils ressentent quelque chose quand ils me liront, je veux qu'ils pleurent, qu'ils rient, qu'ils se jurent de vivre comme j'ai vécu, qu'ils se promettent de ne jamais finir comme je finirais. Je veux juste faire partie d'une partie de leurs vie. Je veux faire partie de la vie d'une ado pleine d'alcool qui ne tombe pas amoureuse, je veux faire partie de la vie d'une veuve, je veux faire partie de la vie d' un homme qui se questionne sur son couple, je veux faire partie de la vie de tout le monde et de personne. Je veux que les gens se souviennent que je vivais comme personne ne pouvais vivre, ouais assoiffée de liberté, je veux qu'ils se souviennent que j'avais pas peur, qu'ils ne me faisaient pas peur, que ce monde de merde me faisaient rire, qu'il comprennent que c'est grâce à ça que j'ai pu survivre. Que j'ai pu vivre. Pour une soirée ou pour la vie.

Alchimie de la douleur

J'aurais jamais cru qu'on aurai pu se faire souffrir en s'aimant trop. 
Mais peu être que si.

Le Serpent qui danse

                                      . 
cri leurs que c'est fini, mentir pour sortir une dernière fois, et sourire, et mourir avec plus de souvenirs , mentir pour vivre, sans attendre

Ciel brouillé

Vas te sucer et laisse moi en paix